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La narrativité en psychothérapie ou la sémiotique à l'usage des psys
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Le radicalisme: comment aider les proches?
Modules de formation courts à l’usage des Communes de Bruxelles
Nous nous sommes avisés que des services de «première ligne» pouvaient avoir besoin d’une autre formule qu’un séminaire, à savoir une formation:
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en leurs murs et avec toute l’équipe, de façon à co-construire une approche commune;
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constituée de petits modules c’est-à-dire de demi-journées autour d’un thème à la demande;
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saupoudrée de séances de supervision de cas, soit en deuxième partie de module, soit à d’autres moments sur demande.
Une subvention de la Région de Bruxelles-Capitole nous permet, depuis le 8 novembre 2018, d'offrir ce service gratuitement. Les services intéressés trouverons ci-dessous un lien vers une liste de neuf thèmes que nous leur proposons, mais elle n’est pas exhaustive, c'est pourquoi il ne faut pas hésiter à nous en proposer d'autres. Nous reconnaîtrons que nous sommes incapables de répondre à une demande si c’est le cas.
Supervisions cliniques
Formation qualifiante à la psychothérapie de l’emprise
Il n’y a pas un «djihadisme» mais un certain nombre de radicalisations qui ne se limitent d’ailleurs pas à l’islamisme (qu’on pense à l’extrême-droite). Elles concernent les jeunes (et les moins jeunes) qui se laissent embrigader, mais aussi leurs familles. Quand les uns ou les autres arrivent en psychothérapie, l’approche «généraliste» s’avère le plus souvent inadéquate. C’est également vrai dans le cas des groupes sectaires, des violences physiques et morales, des perversions sexuelles et narcissiques, etc.
M. Maes s’appuie sur une longue expérience en tant que psychothérapeute spécialisé dans la problématique d’emprise pour proposer à ses pairs une formation ciblée, susceptible de compléter leurs savoirs et surtout leur savoir-faire. Cette formation peut s’avérer particulièrement adéquate pour les intervenants psycho-médicaux-sociaux désireux de s’investir dans la prévention de la radicalisation et/ou l’aide à la «déradicalisation», mais également pour d’autres intervenants qui s’intéressent aux dérives de l’emprise dans un contexte plus large.